Première sortie depuis...

longtemps déjà. Trop longtemps se met alors à penser Na-urn. La vie de nomade commençait à lui manquer. Bien sûr, la ville se gorgeait de femmes tout aussi plantureuses les unes que les autres et il y avait un bon rythme de vie mais... mais la vie de nomade lui manquait.

C'est donc dans cet esprit qu'il se présente aux portes de la ville. Sy-wen était venue lui parlé d'un cas, une femme au sein nue est à l'heure actuelle au porte de la ville et, à ce qu'elle lui avait dit, s'était attaquée aux chevaux. Il tend son arc afin de le tester et sourit. Il allait tenir encore pour la prochaine attaque.

- Bon... se dit-il à lui même. Reste plus qu'Eleonore et on pars...

Il regarde autour, la cherchant des yeux...

Eleonore avança jusqu'au portes de la ville, arnachée de sa tenue rembourrée, sa lance en bois sur le dos. Elle aperçut Na Urn en train de tester distraitement la tension de la corde de son arc.

Elle s'approcha de lui et le salua.

" Hey Na Urn, excuses moi pour le retard... On y va? D'ailleurs, on va où? Que va t-on lui faire à cette femme? Est elle saine d'esprit? Ou juste inconcsciente?"

Eleonore testa le tranchant de sa lance en bois, grimaça légèrement, puis soupira et atendit li signal - et la réponse - de Na Urn.

- Ce qu'on va lui faire ? Lui donner une leçon ma belle. Tu vois, cela fait quelques lunes qu'on tente de la rejoindre pour lui dire de pas toucher à notre troupeau. Mais, comme elle semble pas être une lumière, on va aller lui apprendre les bonnes manières...

Na-urn ne rigolait pas. Son ton était sérieux et tout en tirant une dernière fois sur la corde de son arc, il fait signe à l'italienne de le suivre et ils partirent ainsi en silence...

Plus tard, lorsque la nuit est tombés, Na-urn explique à Eleonore son plan pour la capture. Cette petite, sein nue en plein désert hivernale ne devrait pas leur causer trop de soucis.

Ainsi donc, voici ce qui allait être tenter... Pendant que Eleonore contournerait le troupeau, Na-urn, lui, ira de face. Ainsi, la femme le verra arriver et tentera de fuir mais, l'italienne sera justement là pour couper toute retraite et pourra, ainsi, la capturer.

Tout deux hoche de la tête et sous le couvert du manteau de la nuit, ils s'en vont prendre possession de ce frêle corps...

Eleonore sentit l'adrénaline monter en elle tandis qu'elle se faufilait aussi silencieusement que possible à travers les dunes et les chevaux pour couper toute retraite à la jeune femme aux seins nus.

Ce n'était pas la première fois qu'elle participait à une chasse. C'était par contre la première fois qu'elle participait à une chasse à l'homme...
Elle était sportive et connaissait les notions de combat au corps à corps, ça ne devrait pas poser de problèmes...
Elle serra sa lance entre ses mains pour s'en convaincre.

Voilà, elle était au point que lui avait indiqué Na Urn. Il ne restait plus qu'à attendre le signal... Elle n'entendait que le bruit de sa respiration et les hennissements de chevaux encore éveillés.
Elle apercevait à peine la silhouette immobile à quelques dizaines de mètres d'elle... Encore un peu de patience... Ses yeux la piquait à force de scruter tout ce qui l'entourait. Elle devenait nerveuse, ce n'était pas bon... Attendre le signal...

Soudain le signal de Na Urn retentit!

Il sort de derrière une butte de neige et cela surprend les chevaux qui se mettent à hennir et à rouer des pattes avant. La jeune femme, celle qu'ils sont venues chercher, prend soudainement peur. L'effet de surprise était totale. Rapidement, il se dirige vers elle en bandant son arc dans sa direction. Inévitablement, cette dernière n'avait pas le choix de reculer alors que les chevaux cherche à fuirent devant cette menace.

Ainsi fait, Eleonore a maintenant le voix libre pour l'assaillir de dos...

( HJ: J'ai aussi répondu au rp des GoA ou je mentionne que nous arrivons )

Alors que la jeune femme n'a d'yeux que pour Na Urn - une fois n'est pas coutume- Eleonore se précipita hors de son fourré et alla à la rencontre de la jeune femme. D'un coup sec de l'extrémité se sa modeste lance, elle essaya d'assommer son opposante inconsciente du danger.

Mais elle porta mal son coup qui la frappa a l'épaule violemment et la projeta à terre.

Eleonore tomba alors de tout son poids sur elle, se servant de sa lance pour l'immobiliser. Il ne restait plus qu'à Na Urn à venir la rejoindre pour l'immobiliser définitivement...

Mais au préalable, il s'assura d'éloigner les chevaux. Après tout, c'est bien d'avoir une capture, ce l'est encore plus quand on se fait pas piétiner ensuite par les bêtes. Un fois fait, il va poser ses mains sur les épaules de la jeune femme et sourit à Eleonore.

- Et bien, nous avons fait un jolie croquis et nous voilà devant le résultat finale. Y a-t-il tableau plus beau que celui que nous complétons ? Na-urn lui lance un clin d'oeil et regarde la femme sous eux. Bon, toi ma belle, avise toi pas de bouger. J'vais t'faire comprendre une chose... Tu vois tes mamelons ? Ils sont tout bleu et là, tu vois, j'ai une flèches. Na-urn retire un flèche de son carquoi et entre montre le bout à la jeune femme. Au moindre faux mouvement, je te coupe un mamelon. Sur le cou, t'aura pas très mal, mais, quand sa va dégeler, tu vas gueuler comme une chienne à qui on a enlevé les chiots. Sans parler du fait que j'suis pas sûr qu'tu puisses en garder gros d'ceux-là... M'a l'air nécrosé tes affaires là...

La jeune femme semble comprendre les paroles de Na-urn et hoche de la tête.

- Bien, voilà c'qu'on va faire. J'ai une bonne lanière de cuir ici. Je vais la donner à cette donna sublime italiana et elle va t'attacher les mains. Ensuite, on va se monter un camp et tu vas rester tranquille jusqu'à ce que l'on t'amène à Port Rackam. Comprit ?

La jeune femme ne dit pas un mot, mais elle semble être résigner à suivre les ordres de Na-urn.

- Bien, qui ne dit mot conscent.

D'une main, il libère la lanière qui était prise à sa ceinture et la tend à Eleonor.

- Tient ma belle. J'crois plus qu't'es besoin d'moi. J'ai vue un peu de bois là-bas... J'vais aller l'chercher et on s'fra un feu. Demain, à l'aube, on bouge vers Rackam mais d'ici là, j'ai pas l'intention d'crever d'frette.

Puis il partie chercher du bois sans autre forme de procès.

Lorsque Na-urn revient avec du bois, Eleonore avait déjà monter une partie du campement. L'italienne avait été futée... Elle avait prit la peine de monter une tente, de service, et en préparait une deuxième. Na-urn n'avait pu s'empêcher de sourire.

Il jette donc sa première brasser de bois sur le sol et va aider l'italienne à monter la tente, chose qui fut vite fait. Ensuite, il lui demande de préparer la viande pour la faire cuire, tant qu'à avoir de la viande de cheval, aussi bien en profiter... Il repart ensuite chercher du bois.

Il fait deux à trois voyage de la sorte afin d'être sûr d'avoir assez de bois puis, après avoir tasser la neige de sur une roche, il s'assoit prêt du feu afin d'avoir un peu de chaleur. La nuit était sur le point de tomber et l'italienne avait eu l'inteligence de donner un vêtement à l'esclave afin qu'elle n'aiet pas trop froid. Il ne pouvait qu'être d'accord qu'avec cette idée. Après tout, un esclave hypothéqué ne vallait pas grand chose.

- Bien, nous voilà fin prêt... Dit donc, t'as fini les steak ma jolie ? C'est que toute cette action m'a ouvert l'appétie. Dit moi, t'as pensé à am'ner in brin d'CAC40 ?

Eleonore attisa le feu avant de répondre à Na Urn:

"Derrière toi dans ma besace. Une petite bouteille fournie par Kalou avant le départ. Ca ira très bien avec le steak..."

Na Urn et Eleonore mangèrent de bon coeur après tous ces évènements. Il pensèrent à donner un morceau de viande à la jeune femme prostrée. Il la couchèrent et restèrent un peu de temps à discuter de tout et de rien. L'avenir de Port Rackam. Sciences. Sexe. Enfin surtout Na Urn le sexe...

La nuit étant déjà avancée, Eleonore annonça qu'elle allait se coucher.

- Hé bin bonne nuit ma jolie. Si jamais t'as trop froid, fait moi signe ! Gné hé hé hé.

De son côté, Na-urn continue de rondiner le feu et observe les étoiles. Et bien, se met-il à penser, je crois bien que ma réputation de pervers commence à être sur faite ! Quand c'est rendue que les femmes vont se coucher avant moi... Il rigola de sa réflexion et se prépara à passer une longue nuit à alimenter le feu...

Le réveil fut sans histoires, la journée s'annonçait fraîche. Normal. Eleonore prépara un en cas et prépara les paquetage pour partir sans tarder.
Du travail les attendait à Port Rackam.

De plus, Na Urn avait manifesté le désir d'être présent lors du départ des Goa's.